Le métier de Contrôleur / Contrôleuse Technique Automobile fait partie des métiers « Automobile ».
Définition – Qu’est-ce qu’un Contrôleur / Contrôleuse Technique Automobile ?
Pneus, freins, suspensions, échappement, direction : le contrôleur technique ausculte les véhicules automobiles sous tous les angles. Un vrai bilan de santé pour vérifier leur conformité à la réglementation. Pour cela, il effectue, sans démontage, plus d’une centaine de contrôles à l’aide d’appareils de mesure : analyseur de gaz et de fumées, banc de freinage, régloscope, banc de suspension, etc.
Ce technicien ne répare jamais. En revanche, si des problèmes mécaniques sont détectés, il doit en découvrir la cause. Une fois les tests effectués, le contrôleur technique établit un bilan écrit de son intervention, un procès-verbal et une facture. Puis il détaille au conducteur les anomalies constatées, et lui explique ce qu’il doit faire réparer, quelles sont les pièces à changer et pourquoi.
Le contrôleur exerce dans un centre agréé indépendant ou associé à un réseau. Le métier demande une grande attention et de solides connaissances techniques pour s’adapter à la diversité des véhicules et à l’évolution des réglementations.
Quel niveau d’étude pour devenir Contrôleur / Contrôleuse Technique Automobile ?
Si vous souhaitez devenir Contrôleur / Contrôleuse Technique Automobile, vous devrez très certainement disposer d’un niveau d’étude équivalent à
Le salaire d’un Contrôleur / Contrôleuse Technique Automobile ?
En début de carrière, un Contrôleur / Contrôleuse Technique Automobile peut espérer gagner un salaire mensuel brut de 1,521€
Ce qui correspond environ à 1,217€ net par mois.
Les contrôles VGP
Dans certains secteurs d’activité qui nécessitent l’utilisation quotidienne ou régulière d’engins de chantier et d’engins de levage (ensemble des machines et accessoires participant au levage d’une charge pondérale), il est nécessaire de posséder une certification de contrôle connue sous l’acronyme VGP (Vérification Générale Périodique). Cet examen de contrôle est indispensable pour les entreprises spécialisées dans ces secteurs d’activité. En effet, un examen régulier des différentes machines est essentiel pour prévenir tout danger d’accident sur les chantiers.
Le VGP est obligatoire pour toutes les entreprises concernés, au titre du Code du Travail, et plus spécifiquement de l’article L. 4321-1.
“Les équipements de travail et les moyens de protection mis en service ou utilisés dans les établissements destinés à recevoir des travailleurs sont équipés, installés, utilisés, réglés et maintenus de manière à préserver la santé et la sécurité des travailleurs, y compris en cas de modification de ces équipements de travail et de ces moyens de protection”.
Différentes entreprises sont spécialisées pour valider cet examen de contrôle. C’est le cas par exemple de l’entreprise AFA Contrôle qui emploient des inspecteurs habilités pour contrôle et vérifier les installations des entreprises en demande d’une mise en conformité VGP.
Qui est concerné par les contrôles VGP ?
Comme expliqué ci-dessus, le VGP est une obligation légale pour de nombreuses entreprises spécialisées. Ainsi, le VGP concerne tous les chefs d’entreprise (et travailleurs indépendants), qu’ils soient industriels, loueurs de matériels, à la tête d’une entreprise de manutention ou d’une société BTP.
S’autoformer aux contrôles VGP ?
Les Contrôles VGP peuvent être réalisées par l’entreprise elle-même. Toutefois, elle doit préalablement, réaliser une formation pour justement être à même de mener à bien ce ce contrôle.
La société AFA Contrôle, spécialisée dans la réalisation des contrôles VGP proposent des cycles de formations aux entreprises du BTP qui souhaiteraient acquérir les connaissances nécessaires pour la réalisation de ces examens de contrôle. Vous pourrez en savoir sur les formations VGP proposées par AFA Contrôle en cliquant ici.